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  • Masevaux- la tournée du jury des Maisons Fleuries

    Jeudi, Saint Pierre avait décidé de faire preuve de mansuétude, histoire de permettre aux dix membres du jury du concours des Maisons Fleuries de Masevaux de pouvoir sillonner les rues de la ville en toute quiétude  et de désigner les lauréats de l’édition 2011.

    Placé sous la houlette de l’adjointe Eliane Farny et du responsable des espaces verts, Raymond Schmitt, le jury composé de bénévoles et de professionnels du fleurissement était réparti  des deux côtés de la Doller. Pourtant, s’il n’avait eu qu’à se baser sur les inscriptions en mairie des candidats au concours, la tournée aurait été vite faite. En effet, à peine une quarantaine de masopolitains font acte de candidature pour ce concours des Maisons Fleuries. Ils bénéficient à ce titre de 5 points de bonus. Aussi, pour élargir le pannel, les jury repère d’autres habitations. Ce concours est basé essentiellement sur l’esthétique générale avec un fleurissement exemplaire. L’importance et la répartition du fleurissement, dans l’espace, la diversité botanique, l’originalité et l’esthétique des compositions, la propreté des lieux et l’aspect général des habitations étaient pris en compte pour la notation. Les habitations sont classées selon différents critères : maison individuelle avec jardin visible de la rue, maison avec balcon ou terrasse sans jardin visible de la rue, appartement d’immeubles collectif, fenêtres ou façade fleuries, commerce et la catégorie prestige qui est réservée aux lauréats des cinq catégories de l’année précédente et qui restent hors catégories pendant un an.

    D’ici quelques jours,  le palmarès de l’édition 2011 sera dévoilé.

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  • Masevaux : école de musique : bilan et perspectives

    L’école de musique de Masevaux  termine son année sur une bonne note au concours du groupement Thur Doller qui s’est déroulé en fin d’année scolaire.

    Au niveau  formation musicale,  sur 47 élèves présentés, 28 ont décroché a mention très bien, 10 la mention bien, 7 assez-bien. En  instrument  toutes sections confondues (saxophones, flutes, clarinettes etc.…), 35 jeunes ont obtenus la mention très bien, 10 la mention bien, et 3 assez-bien.

    Toutes ces jeunes recrues, seront amenées un jour à  entrer à l’ensemble des jeunes  qui lui a terminé son année musicale, en animant   la fête de la musique des résidents de l’Ephad de Masevaux, puis d’intégrer le grand orchestre d’harmonie aux cotés de leurs ainés.

    Toutes personnes intéressées pour inscrire son ou ses enfants à l’école de musique de Masevaux , peuvent retirer des bulletins  d’inscription à la mairie de Masevaux, ou voir ce dernier sur le blog de la musique de Masevaux, à l’adresse suivante : http:// musiquedemasevaux.blogspot.com.

    Une réunion de rentrée, se tiendra le 9 septembre 2011 au Cercle St Martin à 18h30. 

     

    Plus de précisions auprès de Messieurs G. Steger (directeur) au 0389259404, ou de F. Baeumler (secrétaire) au florentbaeumler@orange.fr.

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  • Masevaux - Les élus au camping

    Samedi à l’heure de l’apéritif, le maire de Masevaux Laurent Lerch  accompagné par quelques adjoints, par le président des commerçants Christian Blind et par Aurélie Behra, hôtesse à l’office de tourisme de Masevaux rendait visite aux campeurs installés au camping municipal de Masevaux. L’invité surprise de la matinée était le premier gérant du camping en 1971, James Wetterwald qui eut l’occasion aussi de deviser avec quelques clients de la première heure.

    Une visite traditionnelle qui permet au premier magistrat de faire la promotion de la ville et de la région mais également d’écouter les doléances des touristes et d’expliquer les réalisations de la ville au camping. Avec le mauvais temps, il faut bien reconnaître que les estivants ont quelque peu délaissé l’établissement des gérants Jenny et Andy Radcliff. Mais tous concèdent qu’ils trouvent à Masevaux, l’endroit idéal pour se reposer et profiter de la tranquillité. Et s’il faut pour l’instant, mettre une croix sur les randonnées en montagne, les visites à Strasbourg, Colmar ou encore à l’écomusée figurent au rang des destinations les plus fréquentes.

    Chaque année, la commune essaie de faire des efforts pour améliorer la qualité de l’accueil. Ainsi, pour permettre aux campeurs de bénéficier d’un confort supplémentaire,  des coffrets électriques ont été changés pour un montant de 4000 euros. Soucieuse de garantir le calme des visiteurs, le terrain de pétanque qui générait quelques nuisances sonores a été déplacé. En partenariat avec la Com Com, l’accès à la piscine intercommunale est facilité puisque les droits d’entrée sont inclus dans le tarif du camping.  Enfin, d’ici l’année prochaine, les tout petits seront aussi satisfaits puisque l’aire de jeu qui a été démontée pour des raisons de sécurité sera remplacée.

    Comme le soulignait aussi le président des commerçants Christian Blind, toute la ville s’efforce de faire le maximum pour satisfaire les habitants de « cet autre quartier de Masevaux. »

    MH   

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  • Les médaillés de l'AS Burnhaupt le Bas

    Diplôme d’honneur de la LAFA : Olivier Baumann, Gilles Bretzner, Philippe Duffner, Yannick Schirch, Julien Turrel.

    Breloque de bronze : Philippe Clory, Joao Cro, Emmanuel Hurth, Geoffroy Karrer, Lucien Karrer, Raphaël Tschaen, Vincent Von der Ohe

    Breloque d’argent : Philippe Burkcert, Gilbert Greder, Alain Hervy, Claude Koehl, Dominique Richert, René Scalco, Alain Stalter

    Breloque de vermeil : René Tschaen

    Breloque d’Or : Lucien Cornevaux

    Plaquette de bronze : Marcel Andler, Claude Bantze, François Richert

    Plaquette d’argent : Gilbert Allemann

    Médaille de la vie associative du conseil général : François Richert

     

  • L'AS Burnhaupt le Bas fête son 80ème anniversaire

    Samedi et dimanche dernier, l’AS Burnhaupt le Bas était en fête à l’occasion des manifestations de son 80ème anniversaire. Des rencontres de football, une cérémonie de distinctions, un repas auront agrémenté les festivités.

    • Les premiers pas :

    C’est en 1930 que débute la grande aventure de l’ASBB grâce au trésorier de la classe 1911, Auguste Gag qui achète un ballon et qui profite des conseils de  l’instituteur du village Robert Wilhelm. Un premier comité se forme, très vite la société compte une trentaine de membres. Les premières années, on ne joue que des matches amicaux contre les clubs voisins. Après la guerre, Alphonse Bitsch prend la tête du club, histoire de le remettre sur les rails. En 1948, Louis Bitsch lui succède. C’est à son initiative qu’est organisée la première foire aux râteaux. Au fil des années, le club modernise ses installations. Ainsi, il sera notamment associé en 1969 à la construction de la grande salle des sports et des fêtes. Financés par la commune, une partie des travaux est réalisée par des sociétaires de l’ASBB, des pompiers et des bénévoles du village. Une pierre supplémentaire sera rajoutée avec la création en 2001 des deux terrains, avec arrosage automatique et éclairage sur le terrain annexe. Sur le plan sportif, l’AS Burnhaupt le Bas navigue entre la division 1 et la division2.

    • Un club ambitieux

    Aujourd’hui, le club présidé par René Scalco ambitionne d’accéder en promotion d’honneur. Fort d’un effectif enrichi notamment par la présence d’un nouvel entraineur Lionel Réalini, l’ASBB pourrait bien surprendre pour cette nouvelle saison. Depuis quelques années, le club a pris une dimension supplémentaire au niveau de sa section de jeunes en créant une entente avec les voisins de Burnhaupt le Haut.  Cette année, le périmètre de cette entente a encore été élargi avec la présence du FC Balschwiller.  Ce sont onze équipes de jeunes qui défendront les couleurs de l’EJ3B (entente des 3 B), avec trois équipes qui évolueront au plus haut niveau départemental. L’ASBB devrait donc tirer profit de cette politique audacieuse dans les prochaines saisons.

    • 25 bénévoles à l’honneur

    Dimanche matin, le président Scalco, entouré des membres de son comité et des sympathisants du club recevait le maire André Hirth, le député Michel Sordi, le conseiller général Pierre Vogt, une importante délégation de la Ligue d’Alsace de football conduite par le président départemental José Esposito pour une remise de distinctions à 25 bénévoles. C’était aussi le moment pour le président Scalco et les divers orateurs de saluer l’action exemplaire de toutes ces personnes avec en figure de proue Gilbert Allemann qui recevra la plus haute distinction de la LAFA, la plaquette d’argent et François Richert qui, en plus de la plaquette de bronze de la LAFA recevra des mains de Pierre Vogt la médaille de la vie associative.

    Deux hommes qui symbolisent bien le mariage réussi entre jeunes et anciens de l’AS Burnhaupt le Bas.  

    MH

     

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  • SOPPE LE BAS : Inauguration de la 1ère rue des Juifs du département

     

    Hier matin, Francis Guttig maire de Soppe le Bas accueillait Jean Pierre Saal, président de l’union nationale des Juifs de France, Charles Buttner président du Conseil Général du Haut Rhin et Robert Leva, président de la communauté juive de Mulhouse Dornach à l’occasion de la première inauguration dans le Haut-Rhin d’une rue des Juifs.

    A Soppe le Bas, l’histoire de la communauté juive débuterait selon le registre des naissances de la commune en 1815. En 1850, Soppe le Bas compte parmi les siens une vingtaine de familles juive soit une petite centaine de personnes.  Une synagogue détruite en 1877 leur permettait de pratiquer librement leur culte. Si cette communauté s’est installée dans ce village aux portes de la Franche Comté, c’est en raison de sa situation. Traversé jusqu’en 1993 par la RN 83, beaucoup de marchandises et de personnes transitaient par cet axe. Une situation idéale pour favoriser le commerce. Rien d’étonnant alors à ce que l’on trouve à Soppe le Bas, des marchands de bestiaux, de draps, d’étoffes, de tabac, des épiciers des courtiers  si bien qu’à l’époque Soppe le Bas était baptisé « Le Petit Paris ».

    Le maire Francis Guttig se plut à évoquer cette période où les « différences entre communautés étaient  comprises et respectées et où l’esprit d’entraide régnait ». S’il fut question dans les années 1970 de rebaptiser la rue des Juifs,  il n’en est plus question. Pour le premier magistrat soppois, il convient  plutôt de « confirmer et d’honorer celles et ceux qui furent les acteurs indissociables de l’histoire du village » et de se souvenir de Judith Picard et Céline Picard, deux enfants de Soppe décédées en Pologne et à Auschwitz.  Le président du Conseil Général Charles Buttner ne manqua pas de saluer cette attitude humaniste propre à la région rhénane alors que Jean Pierre Saal, président de l’union nationale des Juifs,   après avoir rappelé trois dates symboliques qui auront contribué à affirmer l’émancipation des juifs en France, remit au maire de Soppe le Bas et au président du Conseil Général, une « Hannoukia », chandelier à 9 branches utilisée par les juifs dans la fête des Lumières.

    MH           

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  • Soppe le Haut : Anita Aubert range ses cahiers

    Vendredi soir, tous les amis de l’école élémentaire du RPI du vallon du Soultzbach avaient répondu à l’invitation d’Anita Aubert qui fêtait son départ à la retraite après 36 années de carrière dont 28 à Soppe le Haut. Autour d’elle, les élus représentés par les vices-présidents du Syndicat intercommunal Aimé Bellicam et Denis Fluhr, les maires de Soppe le Bas Francis Guttig et Soppe le Haut Robert Kuenemann, le maire honoraire Paul Egly et de nombreux collègues, parents et connaissances. Ils auront écouté Anita Aubert, témoigner de sa passion pour sa profession, de sa relation avec les enfants, avec les familles et avec ses collègues.  Avec poésie, Anita Aubert aura évoqué les multiples missions de l’enseignant actuel, obligé chaque jour de se remettre en question et de s’adapter aux situations. Aimé Bellicam aura salué en la jeune retraitée, une enseignante discrète qui aura tissé avec les habitants du vallon et avec le village de Soppe le Haut, une véritable relation  de confiance. Le mot de la fin revint au directeur d’école Marc Hoog qui évoqua les grandes lignes de la carrière d’Anita Aubert ; de son entrée dans le métier à l’école normale de Guebwiller en 1975 en passant par sa première affectation à Hésingue, ses détours par l’école Jean Zay à Mulhouse, par l’école « Les Quatre Saisons » d’Illzach avant de s’installer à Soppe le Haut en 1982. Il  rappela que Mme Aubert aura été témoin des grandes mutations du paysage scolaire et démographique du vallon, il s’attacha également à démontrer tout l’humanisme d’une enseignante, consciencieuse jusqu’au bout de son exemplaire carrière.

    A présent  qu’elle a rangé ses cahiers, Mme Aubert pourra se consacrer à des amis qu’elle a parfois délaissé au profit de son métier, elle pourra profiter des choses simples de la vie et retrouver un Vercors qu’elle a découvert grâce à son mari.     

    MH

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  • Masevaux : Départ à la retraite - les grandes vacances de Mireille Doyen

     

    A la veille des grandes vacances, Laurent Lerch maire de Masevaux entouré de son adjointe aux affaires scolaires Jacqueline Schildknecht  recevait le personnel enseignant de Masevaux  et les amis de l’école « Les Remparts » pour le départ à la retraite de Mireille Doyen, professeur des écoles.  Laurent Lerch salua en la jeune retraitée, « la crème des crèmes » tant elle a su se faire apprécier par sa gentillesse, son sourire, son dynamisme et son efficacité.

    Une large partie de sa carrière, Mme Doyen la passera en région parisienne, d’abord en tant que secrétaire au ministère des Universités avant de débuter sa carrière dans l’enseignement en zone d’éducation prioritaire à Limeil Brévannes. Elle arrivera en Alsace en 2001 suite à une mutation professionnelle de son mari. Elle sera nommée au collège Kennedy de Masevaux avant d’enseigner à l’école maternelle de Masevaux pendant trois ans puis à Lauw pendant une année. En 2006, Mireille Doyen reviendra à l’école « Les Remparts » à Masevaux pour y terminer sa carrière. Avec Mme Doyen,  « l’Education Nationale perd une maîtresse exceptionnelle pleine d eprojets qui a toujours su s’adapter à toutes les situations ».

    A présent, elle aspire avant tout à « prendre une année sabbatique »  mais gageons qu’elle saura se montrer une mamie attentionnée et disponible pour ses deux petits enfants Jules et Ninon. Des projets de voyage, de randonnée, une passion pour les arts plastiques et la philosophie rempliront cette nouvelle vie de Mireille Doyen.

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