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  • LES ELUS AU CAMPING

    L’an passé quand Laurent Lerch maire de Masevaux était allé à la rencontre des campeurs du camping municipal de Masevaux, il leur avait fait deux promesses :  revenir au camping en 2010 vêtu du costume folklorique d’alsacien et avec un drapeau de la région.

    Le maire de Masevaux a tenu parole puisque , c’est en calèche et accompagné de son épouse Sylviane, de l’adjointe Eliane Farny et d’une  campeuse Mme Florent qu’il a fait sa tournée annuelle. Il en a aussi profité pour offrir le drapeau alsacien à un campeur suisse, M Théo.  Sur place également, Sabrina Gardeux,  hôtesse de l’office de tourisme, le président des commerçants Christian Blind et quelques membres du conseil municipal qui d’année en année tiennent à saluer ces éphémères masopolitains. Le camping de Masevaux a une touche internationale. Les hollandais, belges, suisses, allemands, autrichiens  ou danois côtoient avec bonheur les français et les alsaciens. Certains  sont quasiment  des masopolitains à part entière à l’image de Marius Kessler qui en est à 37 années de présence au camping de Masevaux. Depuis quelques saisons maintenant, la ville a délégué la gérance à un couple d’irlandais, Jenny et Andy Radcliff, qui eux aussi ont découvert Masevaux il y a une quinzaine d’années en séjournant au camping. Aujourd’hui, ils oeuvrent à la satisfaction générale : « ils sont extras » souligne Mme Florent. Leurs efforts viennent d’être couronnés de succès puisque sur le second prix départemental de fleurissement vient de leur être attribué. La ville aussi est soucieuse du bien-être des campeurs puisque, le terrain de pétanque qui jouxtait le camping a été déplacé et garantit le calme des touristes.

    Même si la météo n’est pas toujours optimale, les campeurs ne perdent pas pour autant le sourire et cultivent des liens de fraternité entre les peuples.

    MH

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  • LE FOOT A REPRIS, LES INTEMPERIES AUSSI

    Voilà le foot a repris et la météo a décidé de nous jouer une sacré farce. Déjà cinq rencontres remises: mes amis d'Oberbruck et d'Aspach le Haut qui n'ont pas voulu, prendre le moindre risque avec leur terrain remise en état pendant la trève et plusieurs autres rencontres dans le Sundgau comme ici à Durlinsdorf ! Bref, premier casse-tête ! Je suis bien cotnent de ne pas avoir à gérer cela mais j'ai l'impression que clea va déjà s'accompagner de grincements de dents.

    A part cela, c'était la fête Burnhaupt le Haut : du moins, vendredi, samedi et dimanche matin car dimanche après-midi, c'était plutôt la soupe à la grimace avec un onze local totalement dépassé par les évènements (voir plus bas).

    Vendredi soir, avec les vétérans, nous avons livré une bonne petite rencontre où avec un peu moins de maladresse , nous aurions pu renverser la vapeur face à une sélection au sein de laquelle, j'ai retoruvé avec plaisir quelques uns de mes anciens coéquipiers ! Par contre, après, nous avons été à la hauteur. Samedi après-midi, j'ai voulu voir comment s'adaptaient les anciens U13 d'Oberbruck et de Burnhaupt le Haut au foot à 11. Un bon petit match avec notamment un Anthony Weiss, impressionnant à la tête de l'attaque rouge. Après avoir vu ces deux équipes, j'avoue que j'ai de sérieuses craintes pour le parcours de mes anciens protégés : même s'ils savent jouer au foot, leur manque de gabarit va leur jouer de sacrés tours.

    Ce matin, réception officielle avec la remise des distinctions. A la demande certains membres, je mets en pièces jointes mon intervention.

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    FOOTBALL

    COUPE DE FRANCE :

    BURNHAUPT LE HAUT 0 – SCHUWER 4

    Burnhaupt le Haut – terrain en bon état – 100 spectateurs – mi-temps : 0-1 – arbitrage de M. Schmitt (Réguisheim) - buts pour Wintzfelden/Osenbach : Schuwer (8ème, 47ème, 50ème et 58ème)

    Ce week-end, le FC Burnhaupt le Haut fêtait son 85ème anniversaire. Le nouvel avant-centre des visiteurs, Nicolas Schuwer aura quelque peu gâché la fête aux locaux en dynamitant à lui tout seul  les velléités des recevants et en scorant à quatre reprises. D’abord à la 8ème, où il profite d’un Yannick Bischoff trop avancé pour ouvrir la marque. Il est tout prêt de récidiver à la 25ème mais cette fois Bischoff s’interpose. Du côté des burnhauptois, les réactions sont bien timides. Personne ne se trouve à point nommé pour dévier un coup franc de Lahouari et Fluhr expédie bien un missile mais en dehors du cadre des buts gardés par Sinouh.

    Après cette première mi-temps débridée, Schuwer va ôter tout suspense à la rencontre en trois minutes. A la 47ème, il fixe la défense pour placer un tir des 20 m à ras de terre hors de portée de Bischoff. Il réalise le coup du chapeau à la 50ème en reprenant une balle contrée et il conclut son œuvre à la 58ème en sautant plus haut que le capitaine local Freiberger pour marquer de la tête.

    Assomé, Burnhaupt ne parviendra pas à réagir ni  même pas à se créer des occasions dignes de ce nom. Inquiétant à une semaine de la reprise du championnat.

    PHOTO : le terrain de Durlinsdorf qui devait accueillir le match Riespach - Bartenheim

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  • ANNIVERSAIRE : LES 85 BOUGIES DU FCB

    Le FC Burnhaupt le Haut est un fringant jubilaire qui va souffler ce week-end ses 85 bougies. Porte-drapeau du football dans les deux vallées, il sait qu’en matière de sport, l’équilibre est toujours instable. Sa riche histoire le démontre.

    • Les premiers pas

    Les premiers soubresauts du foot à Burnhaupt le Haut débutent en 1924 quand quelques jeunes mettent leur argent de poche en commun pour s’acheter un ballon mais ce n’est que le 25 mars 1925 que le club est officiellement créée dans l’arrière-salle du café de Mme Vve Stehelin.  Jules  Wischer, architecte suisse devient le premier président. Le   terrain est aménagé sur une parcelle de pré mise à disposition par la municipalité derrière l’ancienne usine DMC.  Dès 1931, il est remplacé par l’aire de jeu au croisement du Pont d’Aspach, un terrain qui restera opérationnel jusqu’en 1975.

    • Des résultats en dents de scie

    Sur le plan sportif, les performances se font attendre même si en 1932, des renforts  cernéens permettent aux burnhauptois de jouer les premiers rôles. En 1936, le club se dote d’un nouveau président, Jean Baptiste Bitsch, un homme qui aux idées modernes qui marquera le club. Il restera à sa tête pendant 31 saisons. Côté terrain, les résultats s’améliorent aussi puisqu’entre 1957 et  1959, l’équipe fanion passe de division 4 à la division 2.  Embellie de courte durée, puisqu’en 1966/67, on retrouve le FCB en quatrième division.  La crise sportive, il la connaîtra aussi en 1973 où l’équipe, alors en division 3 doit déclarer forfait général. En 1975, Lucien Winterholer prend le flambeau de président,  d’un club qui se voit doter d’un nouveau terrain avec vestiaires et mille-club. Il est inauguré le 15 août 1975.  Petit à petit, le club se structure.  En juin 1989, Louis Dietemann apporte ses idées novatrices en tant que président, avec  André Stemmelen, les jeunes se regroupent sous la bannière de l’entente Basse Doller.  En 1995, en même qu’il  prépare son 70ème anniversaire, le club du président Bago fête sa montée historique en division 1 où il ne restera qu’un an avant d’accéder en promotion.

    • La décennie dorée :

    Mais le plus beau est à venir encore pour le club de l’avant vallée de la Doller. En 2002/2003, le club poursuit son ascension vers les sommets en accédant en promotion d’excellence, devançant les SR Cernay d’un petit  point.  Mais ce n’est qu’une transition. Avec Thomas Lumia à la barre, le FCB ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.  Il ne reste qu’une année à ce niveau avant d’accéder au gotha du foot départemental, l’Excellence. Là pendant trois années, le club fera des prouesses luttant contre des équipes aux moyens bien plus importants. A l’issue de la troisième saison, les burnhauptois retrouvent la promotion d’excellence  non sans avoir glané au passage leur première coupe du Crédit Mutuel.  Mais derrière l’équipe fanion, c’est tout un club qui se met en place grâce au travail du président  Daniel Wanek en poste depuis 1998. L’équipe 2 accède en excellence B et surtout la section des jeunes prend de l’ampleur. Aujourd’hui, les U15 jouent au plus haut niveau départemental, la génération des U17 championnes d’Alsace de U15A il y a deux ans est prometteuse tout comme les U11. Bref, tout va pour le mieux à Burnhaupt le Haut surtout que depuis deux ans, l’équipe fanion évolue à nouveau en excellence avec un groupe renouvelé autour de son emblématique capitaine José Rodrigues.

    Bénéficiant de nouveaux vestiaires depuis un an, tout est en place à Burnhaupt le Haut pour que rayonne encore longtemps au firmament l’étoile rouge du FCB

    Le programme des festivités : Vendredi 13 août à 19H : rencontres de vétérans  - samedi 14 toute l’après-midi : rencontres de jeunes – dimanche 15 août : rencontres équipe 2 – équipe 3 – 11H : remise de distinctions – 12H : vin d’honneur – 16H : coupe de France : Burnhaupt le Haut – FC Wintzfelden/Osenbach.

    MH

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  • BALLON D'ALSACE : LES QUATRE SAISONS DU LANGENBERG

    Avec toute sa famille, Jean Claude Fluhr, le sympathique propriétaire de l’auberge du Langenberg au Ballon d’Alsace est sur la brèche 365 jours par an. L’hiver, en plus de son activité de restaurateur, il exploite avec son ami Gilbert Zimmermann, les remontées mécaniques du domaine skiable du Ballon d’Alsace. Au printemps, quand dame neige tire sa révérence, il est l’heure de faire tous les petits travaux d’entretien, de révision du matériel. Et en été, c’est la fête au Langenberg.

    Après la fête d’ été de la fin juillet avec l’orchestre Melody Boys, le Langenberg s’était mis à l’heure sportive dimanche dernier en accueillant la dernière étape du Tour Alsace cycliste, un rendez-vous qui a drainé des centaines de visiteurs venus applaudir les champions.

    Ce dimanche, les vivats de la foule étaient supplantés par le bruit des tronçonneuses à l’occasion de la quatrième fête des bûcherons.  Toute la journée, les magiciens de la tronçonneuse auront ravi le public  en sculptant de superbes sujets : champignon, siège, panier, lutin, un régal pour les yeux mais pas pour les oreilles !  Un véritable tour de force que de manier avec une telle finesse ces engins de 12 kilos. Pour Jean Paul Thomas de , c’est une véritable passion. La semaine, il la consacre avec ses fils aux travaux forestiers et le dimanche, il sculpte. A l’instar du bûcheron professionnel, beaucoup viennent au Ballon par sympathie pour Brigitte et Jean Claude Fluhr. Ainsi le doyen des bûcherons Gaby Perry (86ans) maniait encore le passe-partout (grande scie à lame large) avec agilité. Alphonse Piot de Rougeoutte est un autre inconditionnel de ces rendez-vous avec la forêt. Sa spécialité, c’est le schlittage. De sa vie, il avoue fièrement : «  j’ai une femme, deux enfants et j’ai connu  trois schlittes que j’ai fabriquées de mes mains ».  Avec son engin, il dévale des pentes avec plus d’un stère de bois dans le dos. Si dimanche matin, Alphonse Piot s’est fait quelques frayeurs lors de sa démonstration, il concède volontiers : « avec la schlitte, c’est tolérance 0 alors, il ne faut pas être trop gourmand ! ».

    Le public aura aussi pu voir l’abattage à la hache de deux arbres qui gênaient quelque peu les skieurs en hiver.

    Mais l’été n’est pas fini à l’auberge du Langenberg. Le week-end prochain, Jean Claude Fluhr et son équipe remettront le couvert à l’occasion de la fête montagnarde qui sera animée dès samedi soir et dimanche toute la journée  par l’orchestre « Die Elsasser ».

    MH

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  • MASEVAUX - LES TRAVAUX D'ETE DES SERVICES TECHNIQUES

    Aux services techniques de la ville de Masevaux, vacances ne riment pas avec farniente. L’adjoint Julien Ast et le chef de service Vincent Ducottet ont fort à faire pour coordonner les différents chantiers.

    • Scie mobile :

    Pendant quatre jours, une scie mobile était stationnée à côté des courts de tennis de la ville pour scier et façonner quelques 40m3 de sapin Douglas des forêts masopolitaines.  Pour Julien Ast, c’est une véritable opération de développement durable : « avant, on faisait des centaines de kilomètres pour exploiter  ces bois. Là, on fait donc une économie de 40% au mètre cube. L’opération sera renouvelée dans les prochaines années ».  La tache est confiée à l’entreprise Perrin de Dommartin-les Remiremont dans la vallée de la Moselle.  Elle a façonné des poutrelles, des madriers, des planches qui serviront aux services techniques pour des travaux en régie. Julien Ast a quelques idées en tête : « nous sommes  régulièrement sollicités pour installer des bancs et des tables en périphérie de la ville ; avec les bûcherons, nous attellerons à la tache cet hiver ».

    • Jobs d’été :

    Du travail, il y en aussi pour quelques trente jeunes qui sont les acteurs des « Jobs d’été ». 8 sont affectés aux services administratifs et 22 aux services techniques. Tous sont domiciliés à Masevaux. Comme la demande était forte, la période de travail a été réduite à quinze jours. Certains d’entre eux proposent depuis quelques années leurs services à la ville. Julien Ast reconnaît même qu’on peut leur confier une tache « en toute autonomie ».  Cette quinzaine de jours  leur permet de se forger une première expérience de la  vie professionnelle et les sensibilise au monde du travail. Certains jeunes envisagent même de postuler peut-être à un emploi à la ville de Masevaux !

    • Réseau d’eau :

    Pendant la période estivale, les services techniques en profitent pour surveiller et effectuer  des travaux sur le réseau d’eau. Grâce à 25 prélocalisateurs, les fuites d’eau sont facilement repérables.  Pour Julien Ast, voilà encore un investissement rentable à longue échéance.  A Masevaux, pas question de parler de sécheresse : « avec 300 à 400 mètres cubes pompés dans la nappe, nous sommes dans une moyenne tout à fait normale. Les sources ont un débit constant, il n’y a aucune inquiétude ».

    Travaux de bâtiment, entretien de la voirie, embellissement de la ville constituent les autres champs d’action de ces agents qui oeuvrent pour améliorer votre quotidien.

    MH

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  • MASEVAUX - MAISONS FLEURIES : 33 LAUREATS

    Après avoir arpenté les rues masopolitaines (voir notre édition du 1er août), le jury du concours des maisons fleuries de Masevaux a rendu son verdict. 33 lauréats répartis en six catégories seront honorés par la ville. Ils s’associent à leur manière aux efforts des services techniques pour maintenir  la qualité du fleurissement à un niveau qui permet de jouer dans la cour des « grandes villes fleuries de France ».

    Le palmarès :

    Maisons individuelles avec jardin très visible de la rue : 1° Sylviane Lerch, 2° Claude Iltis, 3° Jean Michel Boeglin, 4° Maria Finck, 5° ex aequo  Michel Farny  Jean Pierre Mauquin

    Maisons avec balcon ou terrasse sans jardin visible de la rue : 1° ex aequo  Paulete Wolff et André Nussbaum, 2° Gilles Steger, 3° François Briswalter, 4° Didier Sansig, 5° Simon Ehret

    Appartements d’immeubles collectifs : 1° Jacqueline Schaeffer, 2° Isabelle Nass, 3° Daniel Koenig, 4° Mathilde Haffner, 5° Ehret – Frey

    Fenêtres et façades fleuries : 1° Valérie Studer, 2° Gilbert Kessler, 3° Marie Noeëlle Rosenblieh, 4° Jean Burdet, 5° Denis Ioller

    Commerces : 1° Studio Bianchi, 2° Stuwa chez Fred, 3° Boucherie Jung, 4° Corinne Coiff

    Catégorie Prestige (hors concours) : Pierre Schwoehrer , Jean Marie Simon, Bernadette Steger, Patrick Watrin, Daegelen et Cie

    Prix spéciaux d’encouragement : Centre médical « Le Schimmel » et Jean Jacques Kieffer.

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  • LAUW - NECROLOGIE - FRANCOIS CUNY N'EST PLUS

    Même si on le savait malade, la nouvelle de la disparition dimanche  de l’ancien maire  François Cuny aura suscité un réel émoi dans la commune de Lauw. Cadre responsable à la sécurité sociale, François Cuny était entré au conseil municipal en 1983 comme premier adjoint du maire Marcel Hirth. Pendant un mandat, il aura l’occasion de se forger une première  expérience des affaires communales avant d’être élu maire en 1989, un mandat qu’il occupera jusqu’en 1995.

    Associatif convaincu, François Cuny a notamment œuvré pour les sociétés sportives du village. En 1985, il a contribué avec Césare Bina à la reprise du club de football et il aura été un des moteurs du club de pétanque dont il était le président d’honneur. Pendant ses deux  mandats, il aura largement contribué à dynamiser et à développer tout  le complexe sportif le long de la Doller.

    François Cuny était âgé de 63 ans. Il  était marié et le père d’un garçon. Ses obsèques seront célébrées jeudi 5 août à 14H30 en l’église St Eloi de Lauw.

    Les DNA présentent leurs sincères condoléances à la famille en deuil.

    MH

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  • MASEVAUX :LA PIZZAKILWA BAT SON PLEIN

    Depuis samedi soir et jusqu’à dimanche prochain, Masevaux vivra à l’heure de la fête foraine traditionnelle. Depuis dix ans maintenant, cinq associations locales se donnent la main pour consolider encore le succès  de ce rendez vous annuel et lui donner une touche gastronomique. La pizza a donc joué les rassembleurs et c’est ainsi qu’est née « la pizzakilwa ». Samedi soir, à la faveur d’une douce soirée estivale, ils étaient nombreux à déguster les savoureuses pizzas mais aussi  les tartes flambées  mitonnées par les pizzaïolos amateurs et bénévoles. Pour digérer le tout, rien de tel ensuite qu’un petit pas de danse avec Horizon Animation ou l’orchestre Variéty’s le lendemain. Mais la pizzakilwa, c’est aussi la fête de la jeunesse qui peut s’en donner à cœur joie sur la chenille, les auto-tamponneuses, les manèges ou qui attend encore que la chance lui sourit dans les différents stands de loterie.

    La pizzakilwa se poursuivra ce mercredi soir avec la journée demi-tarif. Ceux qui ne pourront en profiter se rattraperont ce week-end pour la dernière ligne droite. Dimanche dès 7H, un marché aux puces occupera les abords de la salle polyvalente et la pizzakilwa se terminera en apothéose dimanche soir avec un feu d’artifice.

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