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Presse écrite et télévisuelle - Page 84

  • RECEPTION

     

    SOPPE LE HAUT

    LES ARTISTES ONT DU CŒUR

     

    A l'initiative de Jean Michel Peltier sculpteur du village, une dizaine d'artistes de la région ont souhaité apporter leur contribution au financement de la classe de neige du CM2 de l'école élémentaire du RPI du vallon du Soultzbach en offrant une œuvre contre un don à l'école.

    Plus de 300 billets ont été mis en vente et ont permis aux heureux gagnants d'acquérir à moindre coût   une sculpture de Jean Michel Peltier ou un tableau de Rosemonde, Vesnica Martin Hajpeck, Evelyne Levett, Michèle Lupori  Raymond Holweg, Patrice Barrat, Gérard Gebel, Gérard Stimpfling ou encore Eric Strub. Pour ces artistes, c'était aussi un moyen de démontrer leur générosité et de vouloir mettre l'art à la portée de tous.

    Samedi soir, à l'occasion de la remise des prix, le maire de Soppe le Haut Robert Kuenemann et  le directeur d'école Marc Hoog n'ont pas manqué de saluer ces initiatives qui permettent de finaliser un projet ambitieux malgré des difficultés toujours croissantes sur le plan financier et organisationnel.

    Nul doute que les 25 élèves qui prendront fin mars la direction de Morzine et des Portes du Soleil auront une pensée pour tous ceux qui d'une manière ou d'une autre leur auront permis de vivre cette expérience enrichissante.

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  • LIVRE

     

    SOPPE LE HAUT :

    EN PHOTOS ET EN CARTES POSTALES

     

    La commune de Soppe-le-Haut s'apprête à publier courant du mois d'avril  le premier livre entièrement consacré au village et à ses habitants. Riche de 170 photos et cartes postales, il retracera l'évolution de la commune de 1870 à nos jours.

    Le projet remonte à l'automne 2008. Denis Fluhr, adjoint au maire et passionné d'histoire avait trouvé aux archives départementales une collection de photographies datant de 1920. Toutes les habitations du village avaient alors été photographiées. L'idée lui est venue alors d'effectuer un comparatif. Après avoir soumis l'idée à la commission patrimoine de la commune, un appel a été lancé début octobre  pour récolter des documents. Près de 300 photographies et cartes postales ont été collectées. Un important travail de regroupement par thème a alors été mené. Avec l'aide du maire honoraire Paul Egly et de Mlle Marie Thérèse Wetzel et de M. Paul Kuenemann, mémoires vivantes du village, Denis Fluhr a pu rédiger les commentaires.

    L'ouvrage riche de 96 pages se déclinera en six chapitres : au temps du Reichsland, la Première Guerre Mondiale, Soppe le Haut entre les deux guerres, la Seconde Guerre et la Libération, un village en mutation (1950 à 1970) et Soppe le Haut au temps présent. Le livre relatera les évènements marquants du village, ses habitants, son école, les métiers et commerces disparus ou encore la vie paroissiale et associative.

    Pour la commission « patrimoine », l'objectif est de conserver la mémoire du passé en permettant aux anciens de se souvenir de ces grands moments et pour les nouveaux habitants, c'est une manière de s'approprier le village. La couverture de l'ouvrage a  été réalisée à la mine de plomb par l'artiste peintre du village, Bernard Latuner.

    Dès la semaine prochaine, les bons de commande seront déposés dans tous les foyers du vallon. Pour toute commande passée avant le 14 mars, le livre vous sera vendu à tarif préférentiel de 17€. Après sa parution, il sera vendu à 20€. Le tirage étant limité, seules les personnes ayant réservées seront assurées de le recevoir. Il sera aussi en vente à la bibliothèque municipale de Soppe le Haut. Cet ouvrage pourra également être commandé grâce au site internet de la commune  http://www.soppe-le-haut.fr/.

    Voilà un ouvrage qui figurera en bonne place dans toutes les bibliothèques du vallon.

    MH

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  • AUCOLLEGE DE BURNHAUPT

     

    BURNHAUPT LE HAUT

    ACTIVITES FRANCO ALLEMANDES AU COLLEGE

     

    Pendant le mois de janvier, des actions autour de la semaine de l'Amitié Franco-allemande ont eu lieu au Collège de Burnhaupt le Haut et  se sont achevées avec un air de carnaval, en direct de Bavière.
    Des élèves de 4e (Section Européenne et bilangues) ont pu distribuer des Plätzchen allemands (équivalent des bredalas alsaciens qu'ils  avaient confectionnés eux-même.
    Une vente de « belegte Brötchen » (mini-sandwichs garnis) a également eu lieu à la pause du matin, comme dans les écoles allemandes. Pour l'occasion, les élèves avaient revêtu de magnifiques tenues traditionnelles bavaroises et ont fait bien des jaloux! Les Lederhosen seront peut-être à la mode au printemps prochain...

    Si  les élèves et leur professeur se sont beaucoup amusés pour réaliser ce projet,
    ils remercient tout particulièrement Mme Aeby pour les costumes, les parents d'élèves Mmes Schnebelen et Staedelin, le principal M. Lichtlé, le chef-cuisinier M.Delacôte, les agents, la boulangerie Messerlin, le F.S.E  et tous les personnels et élèves participants.
    D'autres actions ont été menées: projections de films allemands, jeu-concours au CDI, affichage de poèmes et de travaux d'élèves, ateliers-jeux réalisés par les 5eA  pour les 6e

    L'objectif de ces actions était de se faire plaisir en allemand, de motiver les germanistes et d'encourager ceux qui ne pratiquent pas cette langue au collège.
    Vivre l'amitié franco-allemande au quotidien sera d'actualité pour 7 élèves de 4e qui participent à un échange individuel de 2 semaines avec l'Allemagne ou la Suisse. L'équipe des professeurs d'Allemand du collège deBurnhaupt le Haut  leur souhaite de vivre une belle expérience linguistique et personnelle et se réjouit d'accueillir leurs correspondants

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  • MANIFESTATION

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    MASEVAUX

    CARNAVAL DES ENFANTS CE DIMANCHE

     

     

    Masevaux revêtira sa tenue carnavalesque aujourd'hui à partir de 13H30 avec le traditionnel carnaval des enfants organisé par l'association de gestion de la salle polyvalente.
    On ne change pas une formule qui gagne. C'est donc sur le principe d'une animation en deux temps que se dérouleront ces festivités carnavalesques : à 14H, le cortège de la cavalcade défilera dans les rues de Masevaux et sera suivi d'un après-midi récréatif animé par un habitué de la cité, l'orchestre « Atout Coeur ».  Bien évidemment, les « Gugga Musik » ne manqueront pas de se faire entendre tout au long du bruyant cortège. Cette année, les organisateurs de l' AGSP et de la commission d'animation de la ville de Masevaux ont décidé de faire la part belle aux enfants et le concours de travestis organisé à cette occasion sera particulièrement bien doté avec notamment en guise de lot un après midi cinéma avec  goûter à l'Espace Claude Rich pendant les vacances de Printemps pour tous les participants. Les organisateurs  comptent également sur la participation massive des associations locales pour animer la manifestation. Si les handballeurs sont toujours de la partie, les gymnastes et le judo club ont annoncé leur participation. Trois groupes ou chars seront aussi récompensés dans le cadre d'un concours.
    Les enfants du conseil municipal junior s'associeront également à la manifestation en proposant un stand de pâtisseries au profit des sinistrés d'Haïti. A la salle polyvalente, on trouvera de quoi se désaltérer et combler les petites faims. L'entrée est libre.

  • MANIFESTATION

     

    80 ANNEES DE JEU DE LA PASSION A MASEVAUX

     

    L'année 2010 sera exceptionnelle pour l'association « Les Masopolitains » qui s'apprête à fêter dignement le 80e anniversaire de la mise en scène de la Passion du Christ.

    Après la soirée mémorable et la fête historique du 15 novembre 2008 commémorant les 125 ans d'existence du Cercle Saint-Martin, acteurs, participants et tous les bénévoles du Jeu de la Passion se donnent rendez-vous le dimanche, 21 février pour une réception et un repas festif. Á cette occasion, le nouveau dépliant, édité en 6000 exemplaires et réalisé par les ateliers de Publi-Hà Uffholtz, avec le soutien du Crédit Mutuel, sera présenté aux personnalités locales.

    Cet anniversaire sera marqué par la 415e représentation qui aura lieu le dimanche 28 février. Une tradition qui perdure à présent depuis 80 ans contre vents et marées. Quant aux responsables et organisateurs qui sont depuis plusieurs semaines sur le pied de guerre, ils sont conscients que pour pérenniser cette fresque biblique qui fait la renommée de Masevaux, le recrutement de nouveaux et jeunes acteurs est impératif. D'où l'appel du président, Dominique Killherr qui veut mobiliser la population et la sensibiliser à soutenir cette œuvre unique en Alsace. Il invite cette année les enfants à venir très nombreux, accompagnés d'une personne adulte,  assister à l'ouverture du spectacle, à savoir à l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem.

     

    Cinq représentations

    C'est le 22 mars 1930, à l'initiative du jeune vicaire, abbé Louis Hassenforder, qu'a lieu la première représentation du  Jeu de la Passion, selon le livret de Auguste Schmidlin. Très vite le succès est au rendez-vous et après une interruption de 7 ans, due à la guerre, la reprise est assurée par des hommes et des femmes qui ont la foi du charbonnier.  Cette évocation vivante de la souffrance du Christ en 12 actes, est donnée en langue allemande, dans un texte émouvant, tiré de l'Évangile de Saint Jean. D'emblée le spectateur est impressionné par cette foule qui acclament, mais la trahison de Judas n'est pas loin. La condamnation à mort par Pilate, le chemin de croix et la crucifixion sont autant de scènes qui suscitent une émotion forte et qui conduisent à la résurrection et la joie du matin de Pâques.

    Les cinq représentations du Jeu de la Passion qui seront données sur les tréteaux du Cercle Saint-Martin à Masevaux, auront lieu les dimanches 28 février et 7, 14, 21 et 28 mars. Lever du rideau à 14h

     

    Renseignements et location : Marie-Rose Weiss, 16 Porte Saint-Martin, 68290 Masevaux, tél 03 89 82 42 66 du lundi au samedi de 9h à 12h. - fax  03 89 38 06 84. Prix des places : orchestre : 16 € ; balcon : 17 € ; scolaires : réduction 3 €.

    (www.passion-masevaux.com), (info@passion-msevaux.com

     

    Photo légende : le nouveau dépliant du Jeu de la Passion de Masevaux réalisé par Publi-H avec le soutien du Crédit Mutuel

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  • HUMEUR

    LE BALLON NE TOURNE PAS ROND

     

    Après mon coup de gueule "Com Com", j'attaque la montagne, celle du Ballon d'Alsace. Ca fait un moment que le feu couve  mais maintenant, ça suffit ! Il faut que les gens sachent, il faut que vous, fidèles lectuers de mon blog soyez au courant ! Vous avez sans doute déjà entendu parler des maigres efforts pour rendre la route du Ballon accessible côté vallée de la Doller. Combien de fois n'avons-nous pas entendu parler d'automobilistes, d'autocars en difficulté... Je me disais qu'avec le début des grands travaux d'aménagement, un effort serait fait ! Et bien non... Deux exemples : lundi 18 janvier, je suis monté au Ballon avec deux cars Glantzmann et avec 70 enfants. Comme d'habitude, nous avons été obligés de chaîner. Un comble me direz-vous quand on songe que vous pouvez aller à Morzine, à Châtel, à Avoriaz ou même à val d'Isère en faisant l'économie d'acheter des chaînes! Bref, les chauffeurs de Glantzmann en ont tellement l'habitude qu'on oublierait presque. Par contre, je vous fais grâce de l'état de l'aire de chaînage juste avant le Boedelen : un miroir ! Les services de l'Equipement avaient fait l'économie de la rendre accessible ! Un peu plus haut, juste avant d'arriver au restaurant du Langenberg chez Jean Claude Fluhr, un poids lourd slovène trompé par son GPS était passé par le Ballon pour rejoindre Epinal ! Hélas pour lui, il se retrouva en porte-feuille ! Certes, il n'avait pas à passer par là comme le lui interdisait les panneaux ! Finalement, il s'en sortit avec une belle frayeur. Mais, mon ami Claude Finck, ancien de la DDE qui connait la route du Ballon par coeur et qui apporte occasionnellement son concours aux Voyages Glantzmann ne manqua pas de dire son fait aux agents de l'Equipement. Résultat : une route parfaitement dégagée dans la descente, gravillonnée. Même l'aire de chaînage avait été raclée.

    Lundi dernier, rebelote. La météo anonçait de faibles chutes de neige sur le Ballon. Aussi, je pris la décision d'aller faire du ski de fond. Sans doute pas la meilleure décision de ma vie. Au départ à Soppe, pas de neige mais au fur et à mesure que nous allions vers le fond de vallée, les chutes de neige s'intensifiaient. A la sortie de Sewen, nous avons chaîné puis nous avons entrepris la montée du Ballon. Au niveau du Lac d'Alfeld, alors que les bus avaient déjà bien tangué, un panneau nous avertissait et nous rassurait: "chantier de déneigement en cours". De camions de déneigement, nous n'en avons pas croisé et pour cause... Arrivés au Langenberg, nous n'avons pu que constater que le camion de déneigement était arrêté à l'auberge....Au sommet, j'ai pris la décision de ne pas skier... De la neige, du brouillard, du vent, des conditions difficiles certes mais qui n'empêchaient pas de skier. Mais la priorité était ailleurs... Il fallait s'assurer que la route serait praticable car de l'avis des chauffeurs, on ne pouvait descendre sur une telle chaussée. Nous étions quitte pour passer des coups de fil : à jean Claude Fluhr pour demander à ces braves agents de bien vouloir assurer leur mission, à Glantzmann pour qu'il mette aussi la pression à la DDE. Nous avons aussi demandé à un gendarme d'intervenir.

    Finalement à 15H15, nous avons pris la décision de reprendre la route. Elle avait été dégagée mais le Petit Poucet s'y serait perdu tant il y avait de gravillons ! Il nous fallut près de 45 minutes pour rejoindre Sewen.

    Bref, ça ne tourne pas rond au Ballon. Comme me le confirmait un moniteur de ski, c'est il y a une dizaine d'années que le Ballon a mal tourné. A l'époque, où il était question de créer la piste de la Steinmur qui aurait apporté un regain d'attractivité et qui aurait dynamisé le ski alpin. Mais les écolos s'en sont mêlés et le projet n'a pas vu le jour. Aujourd'hui, que fait-on ? Le Smiba aménage, crée des passerelles, relie les domaines, améliore l'accueil ( c'est un moindre mal car aujourd'hui si une dame veut faire pipi au Ballon, il vaut mieux qu'elle ne souffre pas d'incontinence urinaire : il n'y a pas de WC public ou alors, il faut payer 0,50€) mais n'apporte pas un plus. Certes, le Ballon bénéficiera de neige de culture mais à quel prix ? Le bon skieur n'a plus qu'à espérer que la Noire du Langenberg soit maintenue dans son intégralité.

    Le projet coûtera un peu plus de 12 millions d'euros mais je m'interroge si les élus alsacien sont bien fait de le soutenir. Aujourd'hui, un habitant de la vallée ne peut pas monter au Ballon sans prendre de risques ! Alors que fait-il ? Il n'y va pas. Résultat ? Le Ballon d'Alsace est devenu le Ballon de Belfort.

    Je sais bien que mon coup de gueule ne changera pas grand chose. Il y en a tellement qui se sont déjà énervés sur le sujet. Peut-être faut-il attendre qu'il y ait un mort, qu'un bus dégringole dans un ravin ....

  • HUMEUR

    LE COURAGE POLITIQUE A LA COM COM...

     

    Mercredi soir, je n'ai pas pu aller à la Com Com, retenu par une réunion sur l'avenir de la division 3 de foot. Je crois que j'ai bien fait car ma réunion a sans doute été plus positive que ce que j'ai pu lire à la fois dans la presse et sur le blog de Franck Dudt.

    La Com Com a besoin d'environ 200 000€ pour mettre le bateau à niveau. Des solutions ont été évoquées lors de la réunion de fin novembre. Pour le président, l'une consistait à re-transférer la compétence SDIS aux communes, ce qui permettrait à la Com Com de dégager environ 150000€. Mercredi soir, le sujet a été renvoyé à ses chères études sous prétexte que les premiers éléments sur le budget ne sont pas connus... Bizarre, ce raisonnement, un premier élément du budget, c'est bien ce transfert, en direction des communes. Ensuite, il faut aussi arrêter de tirer sur la Com Com. Depuis 2002 et le transfert des compétences, rares sont les délégéus qui ont osé s'abstenir lors du vote du budget ; leur vote démontrait donc leur adhésion aux divers projets menés par l'instance intercommunale. Le seul qui ait régulièrement fait entendre sa voix, c'est le conseiller général Jean Luc Reitzer. Les autres, c'est le grand néant...

    Lorsque j'étais aux voeux du maire d'Oberbruck, il a beaucoup été question de vases communicants. Pour moi, c'est un vase qui se remplit quand l'autre se vide. Force est de constater que les communes aujourd'hui jouent sur les mots alors qu'elles-mêmes se sont gardés d'appliquer ce principe à partir de 2003. N'oublions pas que la Com Com a pris un certain nombre de compétences à sa charge en lieu et place des communes. La bonne logique mathématique veut donc que les communes aient moins de charges. Qui dit moins de charges, dit baisse de la pression fiscale. A part une commune (Guewenheim me semble-t-il), aucune n'a osé le faire lors de ces six dernières années ! Alors lorsque les maires disent qu'ils n'ont pas augmenté la pression fiscale, je dis tout simplement qu'ils trompent leur population.

    Et maintenant, que vont-ils faire ? C'est très simple ; le budget des subventions aux associations va être amputé  de 30%, c'est tellement facile... Et dans cette baisse des subventions aux associations, on fera des coups d'éclat qui ne resteront pas sans lendemain. Le bénévole ne coûte rien, il est passionné, il comprendra...

    On verra bien. Aujourd'hui, je constate simplement que le courage politique n'existe pas ou alors il est très rare dans notre vallée. Il est tellement facile de tirer sur le président Gaugler, de discuter sa méthode de gouvernance en oubliant ses propres actes dans le passé. Quant aux nouveaux élus, eux, ils lavent les mains et jouent sur du velours... Facile aussi mais pour certaines communes comme Sentheim, elles ne doivent pas oublier tout ce que la ComCom leur a apporté.

     

    MH

  • SOLIDARITE

     

    MASEVAUX

    LE CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS SE MOBILISE POUR HAÏTI

     

    Samedi dernier, l'ordre du jour du conseil municipal des enfants de Masevaux avait été modifié ; la catastrophe d'Haïti était passée par là.

    Le Maire Laurent Lerch avait invité Antoine Steib ainsi que son fils Alain accompagné de ses deux enfants pour parler du drame qu'ils avaient vécu lors du terrible  tremblement de terre à Haïti.

    Visiblement très marqué par cette tragédie, Alain qui a grandi à Masevaux et qui maintenant  vit et s'est marié à Haïti, a présenté des images fortes mais respectueuses de la sensibilité des enfants afin de mieux comprendre la situation désespérée que vit le peuple haïtien.

    Immeubles effondrés, maisons détruites, détresse des gens ; devant l'ampleur de la catastrophe, les enfants très émus et bouleversés ont posé de nombreuses questions à ces  témoins du drame.

    L'objectif de cette réunion était une première initiative de sensibilisation et de réflexion sur les actions qu'il serait possible d'envisager au niveau local pour aider la population haïtienne.

    Dans un premier temps, les enfants ont décidé de « donner suite à l'urgence efficace et importante », puis d'étendre les actions dans le temps et tout au long de l'année pour participer à l'effort de reconstruction de l'île.

    Une collaboration sera mise en place avec l'association « Terre des Hommes Alsace » qui travaille avec   Inter Aide et d'autres associations humanitaires sur place. Elles  analyseront et cibleront  les besoins et les urgences. Des appels à  dons sous diverses formes seront lancés.

    Les associations s'occuperont de la gestion de ces fonds  et contribueront à la reconstruction d'édifices d'utilité publique tels les crèches, les orphelinats, les écoles... Elles  s'engagent aussi à rendre compte  des travaux réalisés avec les dons apportés par les collectes.

    De leur côté, les enfants se sont proposés de vendre lors du carnaval, serpentins et confettis et de remettre la totalité de la recette à terre des hommes.

    Bel élan de solidarité, de générosité et de citoyenneté.

    (Photo Jean Philippe Di Meglio)

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  • NECROLOGIE

     

    DOLLEREN

    NECROLOGIE : PIERRE KESSLER N'EST PLUS

     

    C'est avec stupéfaction que Dolleren a appris vendredi matin le décès subit de Pierre Kessler, ancien adjoint au maire et figure marquante du petit village de la haute vallée de la Doller à l'âge de 82 ans

     

    Conseiller municipal de 1966 à 2001 et adjoint au maire entre 1977 et 2001, il a, au cours de ses six mandats, largement contribué à façonner ce village où il fait bon vivre. Pendant de longues années, les maires successifs Studer et Trommenschlager ont pu s'appuyer sur cet homme discret, efficace et serviable. Pierre Kessler a notamment été de l'aventure de la création de la piste du Schlumpf. Avec le maire André Studer, il a cru au développement d'une petite station de ski dans la vallée. De longues années durant, il a œuvré comme président de la régie communale des téléskis. A la caisse ou aux téléskis, il savait accueillir le skieur avec le sourire. Le défunt  a  aussi contribué à la bonne marche de l'église paroissiale en assurant la présidence du conseil de fabrique.  Pierre Kessler a également figuré au rang des pionniers de l'intercommunalité puisqu'il a porté sur les fonds baptismaux le syndicat scolaire puis le Sivom de la Doller.

    Marié, Pierre Kessler était papa de trois enfants : deux filles Marie-Eve et Régine et un garçon Jean Claude, très impliqué dans le monde du football puisqu'il assure la présidence des compétitions des jeunes du Haut-Rhin à la Ligue d'Alsace de football.

    Les obsèques de M. Kessler seront célébrées mardi 26 janvier en l'église paroissiale de Dolleren à 14H30.

    Les DNA présentent à la famille ses sincères condoléances.

     

  • CAFE CONCERT

     

    MASEVAUX

    CAFE CONCERT : ON Y CHANTE, ON Y DANSE, ON Y JOUE

     

    Pour réussir un café concert, trois ingrédients sont indispensables : une salle adaptée, des musiciens et des chanteurs motivés et un public. A Masevaux, la musique municipale a su réunir ces trois paramètres.

    Après une première tentative il y a quelques  à Lauw, les musiciens ont posé leurs instruments dans la salle du casino du cercle St Martin de Masevaux qui paraît avoir été crée pour le café concert. Une petite salle, des fresques de Camille Greth pour lui conférer une touche artistique, un incontournable bar et une ambiance chaleureuse. Il ne manque plus que quelques volutes de fumée pour y donner une atmosphère encore plus feutrée. Les musiciens, eux, ils ont mordu depuis le début à l'hameçon du café concert. C'est un peu leur récréation musicale, le moment où chacun peut dévoiler certains jardins musicaux secrets, où on voit naître des talents de comédien et où on remarque surtout l'écletisme de cet ensemble. Le public ne s'y trompe pas. Avant même de venir, il sait qu'il passera un bon moment. Le programme est rythmé, varié. Deux scènes se font face à face. L'une accueille des ensembles mixtes, l'autre est plutôt dédiée au chant. Au centre, entre les divers morceaux, deux musiciennes devisent comme elles le font lors des répétitions. Le café concert, ce sont aussi des petits groupes qui se montent. On s'y amuse  entre saxophonistes, entre percussionnistes. On revisite des « Latin Dance party », les standards du jazz.   On s'y retrouve aussi en famille à l'image de celle des Iltis qui interprète  Kalinka et  la marche de Radetzky. Pour la partie vocale, c'est Martine Lambalot qui a le redoutable honneur d'ouvrir le bal avec  le « Syracuse » d'Henri Salvador. Tout au long de la soirée, le public se balade de Gainsbourg à Marc Lavoine en passant Trenet, Barbara, Julien Clerc.

    Avec ce café concert, vous passerez près de trois heures exquises en compagnie de cette musique municipale de Masevaux à l'enthousiasme communicatif.

    Deux soirées seront encore programmées : s'il reste encore des places pour la soirée du vendredi 22 janvier à partir de 20H, celle de samedi affiche déjà complet.

    Réservations indispensables au 03 89 82 55 54. Tarifs : adultes, 8€ / -16 ans et étudiants, 5€.

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    MH