Me voilà rentrés dans ce séjour à Morzine où les dameurs ont fait des miracles avec le peu de neige pour fournir aux vacanciers des pistes d'excellente qualité.
De retour, j'ai très rapidement eu l'occasion de me replonger dans le quotidien du foot avec une première nouvelle qui m'a déjà fâché. Je suis rentré vendredi soir pour permettre à mon fils de jouer contre Berrwiller. J'attends encore aujourd'hui que quelqu'un me contacte. A la décharge du club, je suis en panne de téléphone portable depuis lundi dernier. Je ne m'étendrai pas davantage ici, j'observe seulement que certains clubs sont capables d'aligner leurs équipes, d'autres pas....
Alors, en tant que responsable des compétitions du Haut-Rhin, fallait-il programmer une journée de foot chez les jeunes à la fin des vacances de février ? je répondrai par défaut : 1° : initialement, cette journée n'était pas programmée en début de saison, ce sont les intempéries de novembre et décembre qui nous ont obligés à nous replier vers cette date. Néanmoins, j'observe quand même que les mêmes clubs qui aujourd'hui ne sont pas à même d'aligner des équipes sont les premières à remettre leurs rencontres, sont les premières à ne pas vouloir jouer les mercredis, sont les premières à ne pas vouloir jouer pendant les vacances ou à la Pentecôte ou le jeudi de l'Ascension. Il faudra alors qu'on m'explique quand elles veulent jouer !
Chez les séniors, aussi, la commission que je préside va serrer les boulons : depuis le 13 février, nous avons refusé les demandes de report que nous jugions intempestifs. Plus on donne des facilités aux clubs, plus ils en profitent !